Prestations,
Accompagnement
&
Boite à outils
« Personne ne possède « la Vérité » sur le fonctionnement de l’être humain.
Si c’était le cas, sans doute vaudrait il mieux se taire … »
Bernard SENSFELDER
Chaque individu est unique, chaque traumatisme est particulier, chaque accompagnement est donc spécifique !
Autrement dit, l’accompagnement thérapeutique est une posture plus qu’un outil, une méthode ou encore un protocole.
Awa : « Ah, mais moi je croyais qu’il suffisait de déployer le protocole « arrêt du tabac » ou « perte de poids » pour arrêter de fumer ou t’alléger !
Tsouk : C’est effectivement ce que beaucoup de personnes pensent …
Awa : Mais pas toi, j’ai compris ...c’est ça ?
Tsouk : Disons que mon approche est quelque peu différente ; matricielle plus que symptomatique, pourrais-je dire. Pour le comprendre, je t’invite à explorer d'autres pages du site ou à visionner cette vidéo (Trauma / traumatisme & inscription traumatique (youtube.com)).
A ce stade, retenons que les pratiques et/ou outils utilisés sont fonction tant de l’objectif poursuivi par le client que du stade où il en est, de sa capacité à absorber le travail ou encore du chemin à parcourir.
Toutefois, je comprends ta curiosité. Aussi, pour te donner un ordre d’idée ou te familiariser avec ces différents outils, utilisés ou pas, en fonction de la personne, je te propose de les découvrir ci-après. »
Auparavant, vous trouverez, ci-dessous, quelques précisions sur les types d'accompagnements proposés.
L'hypnose
Les prestations
Qu'est-ce qu'un accompagnement?
Notre première rencontre commence par un échange au cours duquel vous évoquez :
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votre objectif, votre souhait d'évolution et/ou d'orientation,
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ainsi que ce qui vous bloque ou vous empêche aujourd'hui de l'atteindre ou de vous libérer.
S'ensuit une proposition d'accompagnement constituée d'une ou plusieurs séance(s) au cours desquelles diverses techniques peuvent être utilisées ce, dans le respect tant de votre temporalité que de vos préférences.
Tout accompagnement est adapté à la singularité de chacun !
Les grandes étapes ?
Les grandes étapes de tout accompagnement :
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Sortir de l'ignorance : "Ma réalité n'est qu'une réalité parmi d'autres !"
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Rendre conscient l'inconscient : « Si un fait intérieur n’est pas rendu conscient, il se présente de l’extérieur comme destin. » Carl Gustav Jung, Aïon
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Libération émotionnelle : "Tout ce qui ne s'exprime pas, s'imprime !"
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Déprogrammation / Reprogrammation des schémas neurologiques : Et dans ce cadre, notre cerveau aime la facilité !
Cette démarche est globale et holistique (tête/corps/cœur)
Pour qui ?
Adultes
Adulescents
Adolescents
Enfants
Quel accompagnement ?
Accompagnement neuro-émotionnel
Hypnothérapie
Coaching de vie
Prépa. mentale
cf. "Les outils"
Pour quoi ?
Compulsions
Inhibitions
Maladies
Allergies
Addictions
Traumas sexuels
Phobies
etc.
cf. "Thématiques"
Qu'est-ce que l'hypnose ? Et pourquoi l'hypnose ?
Plus que l’hypnose qui renvoie à la technique, c’est « l’état hypnotique ou de transe hypnotique » qui est utile et utilisé en thérapie.
Pour la plupart « état modifié de conscience », pour certains « état élargi de conscience » (Dany Dan DEBEIX), j’aime surtout l’approche de François ROUSTANG qui le définit comme l’état de « veille paradoxale ».
Awa : "Ce serait un peu comme le quatrième état de l’organisme en somme, c’est ça ?
Tsouk : Effectivement, nous pouvons considérer qu’il y a la veille, le sommeil, le sommeil paradoxal (état de rêve) et la veille paradoxale.
Suivant le contexte, cet état de veille paradoxale présente la particularité d'avoir toutes les apparences du sommeil puisque le corps semble comme endormi et fermé aux stimulations extérieures alors même que le cerveau est en effervescence.
Grâce à cet état, l’individu accède au réservoir de tous les possibles. En activant ou réactivant sa capacité de rêver et son imaginaire, cet état offre à toute personne la possibilité de se connecter ou se reconnecter, à son "propre pouvoir organisateur".
Qu’il s’agisse de faciliter un changement, de modifier un comportement, chaque individu retrouve ou explore sa capacité retrouvée ou améliorée de configurer le monde, son monde.
Awa : J’ai une drôle de sensation à l’écoute de ces propos… ça fait tout drôle à l’intérieur, je crois bien que c’est mon âme d’enfant qui vibre là !
Tsouk : Quel délice, n’est-ce pas, que de pouvoir s’offrir cette rencontre ? En hypnothérapie, nous parlons aussi d’état de suggestibilité accrue de tout notre être. Et en pratique, suivant le cas ou la thématique, ce que l’on appelle « la transe hypnotique » peut être plus ou moins approfondie.
Awa : C’est un état propice au changement, ça j’ai compris. Mais bon quand même, moi, l’hypnose, ça me fait un peu peur !
Tsouk : Beaucoup de personnes me partagent cette appréhension. Aussi, je t’ai préparé quelques mises en scène sur le sujet. Comme d’habitude, tu as la possibilité de me faire tes observations ou même de partager ici (lien blog) ce qui, dans l’hypnose, pourrait te faire peur. Je pourrai ainsi enrichir ces saynètes au fur et à mesure.
Merci d’avance pour ce partage !
Série "Démystifions l'hypnose !"
Pour cette 1ère saison, je vous propose d'aborder les craintes ou autres interrogations "habituelles" autour de l'hypnose !
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Episode 1 : Est-ce que tout le monde est hypnotisable ? L'hypnose, est-ce que ça marche sur tout le monde ?
L'accompagnement neuro-émotionnel
Roméo COURNAL
"Le problème ne se pose jamais où il s'exprime et ne s'exprime jamais où il se pose !
Qu'est-ce que le neuro-émotionnel ?
En neuro-émotionnel, le postulat de base est de considérer que la maladie, l’addiction, l’allergie, la compulsion, l’inhibition, ou tout autre inconfort ou comportement inconfortable est la réponse, et solution parfaite, qu’a trouvée le système nerveux pour éviter de vivre ou revivre une situation, ou l’émotion générée par cette situation.
Et en la matière, notre machine est d’une logique spectaculaire, pourrait-on ajouter !
Awa : Un peu comme l’arbre qui cache la forêt ou la face émergée de l’iceberg …
Tsouk : Tout à fait !
Awa : Et donc ?
Tsouk : Et donc l’idée est d’aller trouver la cause et de proposer un accompagnement en considération de celle-ci. Quel que soit le pourquoi ou le comment, c’est arrivé, l’important est d’identifier le conflit neuro-émotionnel.
C’est un travail de fond, d’engagement et de responsabilité, pourrais-je même ajouter.
Awa : Ah oui, et pourquoi cela ?
Tsouk : Et bien, parce qu’il s’agit là d’un véritable changement de personnalité.
Awa : Hummm … Des précisions stp ??
Tsouk : Pour des détails approfondis, je te renvoie à Trauma / traumatisme & inscription traumatique (youtube.com)
Pour ce qui est de la présentation du neuro-émotionnel, disons que sous l’effet d’une inscription traumatique, un système nerveux reste en alerte, en mode survie ou d’hypervigilance. De jour en jour, c’est un comme une nouvelle habitude, un automatisme qui s’installe.
C’est ainsi que tout s’imbrique ensuite, ton caractère, ton tempérament, ton humeur, tes sentiments.
ET au cœur de nos entrailles, un « truc » s’installe ou réapparaît, se développe ou se diffuse, une sensation, un ressenti, un « je ne sais quoi » qui se propage insidieusement, sournoisement ici et là, un peu partout et nulle part à la fois… au point de rendre telle ou telle situation insupportable.
Awa : Ah je comprends mieux ce que je ressens quelques fois. C’est justement ce qui fait que ce comportement est de plus en plus dérangeant avec le temps.
Tsouk : Effectivement, d’ailleurs, avec le temps, les personnes finissent souvent par s’identifier totalement soit à ce qu’ils ont vécu soit à la maladie ou à ce comportement.
Cela se traduit par des expressions de type « c’est ainsi, je suis comme ceci (colérique par ex.) ou comme cela (fumeur par ex.) ! » ou encore, « Je suis une victime d’inceste ou, je suis cancéreuse ! ».
Awa : C’est un peu comme si ces personnes n’existaient plus en soi et pour elle mais uniquement à travers ces pathologies ou à travers ces traumas.
Tsouk : C’est tout à fait cela. Et en même temps, cela peut faire peur de se débarrasser de cette habitude qui peut être devenue la seule chose que vous connaissez.
Awa : Ah ça aussi, je comprends car il m’est déjà arrivé de me dire « oui, et après, si je me débarrasse de ce comportement, de ce trauma, que va-t-il se passer ? » Là juste au moment où je me sentais prête à passer le cap, c’est comme si je m’étais demandé qui je suis vraiment.
Tsouk : Ce sujet est passionnant... « Souffrir ou Grandir », « Grandir ou Souffrir » telle est la question !! ...« To be or not to be !»
Awa : Mouais, … euh, le lien est trop rapide pour moi, là. Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
Tsouk : Je fais juste le lien avec ce que j’évoquais tout à l’heure quand je parlais de « travail de fond, d’engagement et de responsabilité ».
En résumé, ce qui est arrivé est arrivé (le viol, la mort d’un papa, le suicide d’un enfant, etc.). Maintenant, soit je reste dans la souffrance, soit je m’en sers pour grandir.
Awa : Waouh, c’est un peu trash là, non ?
Tsouk : Ou pas… je dis juste que c’est un choix, je dis aucunement qu’il est simple et facile à faire. Au contraire, le travail thérapeutique comporte différentes étapes plus ou moins douloureuses. Je dis juste que c’est un fait et donc un engagement que d’opter pour cette voie du mieux-être.
Et c’est bien en cela qu’un thérapeute a un rôle à jouer, dans cet accompagnement sur ce bout de chemin de vie.
Awa : Remettre du mouvement, voici là transition idéale pour faire le lien avec le trauma